‘Dream brother’ Battement d'elle Au milieu de nulle part S'offrant un rêve de sirènes Un soupçon de solfège presque fraternel Comme le luxe d'un chaos orchestré Qu'une demi-mesure ondule Dans l'écho d'une noyade Juste au milieu Du fracas des cymbales Des voix se mélangent Et plongent de gigantesques guitares Là où les anges se crispent Aux points de suspensions ... |
…Famille Patho - Patrie ‘Chair’ et tendre insouciance Solidement tressée afin que ne s’échappe Un brin de liberté Qui chatouillant le sillage L’halo mis sous scellé Serait mauvais présage Que de vouloir nommer – Il suffit de rire en cadence Et se faire dépouiller S’offrir sans nuances D’un sourire aliéné – Chut...qui ne dit mot consent Laisse-nous te bâillonner Ne déchaine pas les vents Qui respirent nos travers Sous le fouet des cravaches Et de tendres baisers … |
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éduc hatif
(Feu de Paille)
Ils font semblant de sourire,
Ils font semblant d'écouter,
Ils parlent pour ne rien dire,
Ils font semblant de comprendre,
Ils font même semblant d'exister -
Voici que leur temps s'écoule dans le vide
Étrange sensation que de se diluer
dans l'illusion translucide
d'aucune construction -
....
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éduc hatif
(Feu de Paille)
Ils font semblant de sourire,
Ils font semblant d'écouter,
Ils parlent pour ne rien dire,
Ils font semblant de comprendre,
Ils font même semblant d'exister -
Voici que leur temps s'écoule dans le vide
Étrange sensation que de se diluer
dans l'illusion translucide
d'aucune construction -
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Entre Parenthèses Crispation sur la tangente Au dessus d'un volcan sous marin Entre deux mondes au moins Si ce n'est plus Tu fous le camp A la vitesse de l'air Tu chopes le temps En sautillant Tu crèves l'espace d'un instant D'un pas qui déchire Je me souviens... Dans tes bras Je baise le monde Mais pas toi Mon éternel Printemps - Tu souris A la démagogie des anges, Tu souris Peut être là où il ne faut pas, Plus loin tu supplies Derrière les plaines Sans que personne ne puisse enfin Tu attends Entre temps Entre parenthèses Là, ou seul ton regard reste Comme une pitance astrale |
Limite cannibale Mais tu peux changer de torsade Toujours adossée à cette même façade Et t'enivrer De toutes les faces Embrasse moi Embrasse moi encore Et encore... Pendant que je m'échappe Enlève moi Pendant que je t'arrache Sous l'élan de violons Qui nous font saliver Sans manquer d'écorcher Nos cœurs suppliants - Plus haut sur la falaise J'entends l'écho Le son qui se moque Le son qui emporte J'entends le ciel qui bouge Le clash des vagues, Là tu souris... Tu t'accroupis Puis tu te donne Tu t'extirpes Et enfin Je m'éparpille ... |